En l’espace de quelques années, les micro-influenceurs sont devenus un véritable levier marketing 2.0. Leur principal avantage compétitif ? Leur proximité communautaire ! Cette qualité irremplaçable fait aujourd’hui de l’ombre aux macro-influenceurs et même aux célébrités : des profils qui ont des centaines de milliers voire des millions de followers, et qui ont bien du mal à interagir personnellement avec cette masse d’abonnés.
En France, un micro-influenceur possède une communauté d’abonnés comprise entre 10 000 et 30 000 abonnés, il est ainsi beaucoup plus accessible, plus simple à contacter et à convaincre : un partenariat avec une marque est synonyme de visibilité pour lui.
Il n’est pas suivi parce qu’il est célèbre, il est suivi pour son authenticité, le fer de lance de l’influence aujourd’hui : si le profil micro-influenceur est en parfaite adéquation avec la marque à promouvoir, c’est la garantie de retours qui seront d’autant plus nombreux. Une priorité à avoir bien en tête en termes de casting, pour s’éviter tout bad buzz ou campagne considérée comme poussive ou lassante.
Proportionnellement, les micro-influenceurs sont bien plus nombreux sur la toile que les macro ou les top-influenceurs. Une multiplicité qui donne le choix en termes de diversification de casting et permet de choisir le parfait ambassadeur pour un certain type de produit.
Par ailleurs, les micro-influenceurs ont un taux d’engagement avoisinant les 8% en moyenne, ce qui fait d’eux la catégorie d’influenceurs la plus performante, juste derrière les célébrités.
Enfin, la fréquence de leurs publications est de 12 posts en moyenne par semaine sur Instagram, ce qui n’est pas négligeable, et assez dynamique pour en faire des créateurs de contenus désormais indispensables à une stratégie de communication digitale pertinente.